jeudi 1 janvier 2015

Chronique • Nos étoiles contraires - John Green

 
Titre : Nos étoiles contraires
Auteur : John Green
Édition : Nathan
Collection : /
Sorti en : 2013
Prix : 16,90 €
Nombre de pages : 327
Genre : Jeunesse, Romance
Traduit par : Catherine Gibert (titre original "The Fault in Our Stars")

Chanson : Avant toi - Calogero

 
"Tu glisses le truc qui tue entre tes lèvres, mais tu ne lui donnes pas le pouvoir de te tuer."
 
Résumé :
Hazel, 16 ans, est atteinte d’un cancer. Son dernier traitement semble avoir arrêté l’évolution de la maladie, mais elle se sait condamnée. Bien qu'elle s'y ennuie passablement, elle intègre un groupe de soutien, fréquenté par d'autres jeunes malades. C’est là qu’elle rencontre Augustus, un garçon en rémission, qui partage son humour et son goût de la littérature. Entre les deux adolescents, l'attirance est immédiate. Et malgré les réticences d’Hazel, qui a peur de s’impliquer dans une relation dont le temps est compté, leur histoire d’amour commence… les entraînant vite dans un projet un peu fou, ambitieux, drôle et surtout plein de vie.


Je me suis enfin décidée à lire "Nos étoiles contraires", plus d'un an après sa sortie. En vérité, j'avais peur, peur d'être déçue d'un livre qui avait trop fait parlé de lui, peur d'un best seller qui a tiré les larmes de la plupart de ses lecteurs et surtout peur d'être d'en attendre trop de l'auteur, auteur que j'avais déjà lu avec son merveilleux roman "Le théorème des Katherine". Finalement j'ai cédé. Je ne pouvais pas passer à coté de ce livre. Et sincèrement je n'ai pas été déçue. Peut être que c'est du au fait que j'ai lu le livre une fois l'effet de "mode" passé et surtout avec une moins grande attente, due à ma peur de la déception, mais j'ai adoré ce livre.

 Les personnages sont extrêmement attachants. Malgré la maladie, je n'ai à aucun moment ressenti de la pitié pour les personnages. J'étais triste lorsqu'ils étaient tristes, mais j'étais triste avec eux. Pas pour eux. Et ce sentiment est bouleversant. Hazel, Augustus et Isaac, ne l'oublions pas, ont tous les trois beaucoup d'humour. Certaines remarques de ces personnages m'ont fait beaucoup sourire malgré leur humour noir. Ils ont un sens de l'auto-dérision incroyable.

Malgré le thème fort et poignant de la maladie, l'auteur fait passer le lecteur des larmes aux sourires de façon assez fluide.

J'étais préparée à un événement très triste étant donné que beaucoup de personnes disaient qu'elles avaient pleurées. Pourtant je ne m'attendais pas à  cet événement. Les retournements de situations sont remarquables, et grâce à ça j'ai versé ma petite larme alors que je m'étais promis de ne pas pleurer.

J'ai trouvé la fin magnifique. J'avais peur d'une fin trop lourde, trop triste. J'ai été agréablement surprise la fin est belle, et donne un magnifique message d'espoir.

 
 

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